Un début d’année 2024 toujours aussi attractif

L’UPTC commence cette année 2024 avec autant de propositions de conférences attractives que les années précédentes, touchant à de nombreux domaines de la connaissance et de la culture. Les intervenants, tous bénévoles, sont de bons spécialistes des questions traitées et ont pour objectif de faire partager leurs savoirs de façon  documentée, claire et vivante. La présence d’un public en nombre sans cesse croissant en atteste aisément.

Après une interrogation sur l’existence d’une philosophie de l’écologie, c’est à un dévoilement des dessous, en mode « polar musico-historique », du Requiem de Mozart que le public – très nombreux – a été invité.

Puis il sera convié à des réflexions argumentées et précises sur la loi de bioéthique comme sur le sens et la reconnaissance du travail. Des informations précieuses sur les causes du cancer et les méthodes pour s’en prémunir seront également données.
Des cycles déjà commencés comme ceux sur l’histoire des femmes, sur la Sicile, sur la bioéthique et sur la société du numérique se poursuivront avec de conférences telles que : les femmes des « années folles », l’italianité de la Sicile ou le printemps sicilien, la recherche sur l’embryon ou les cellules souches, les épidémies de « fake news » et comment déjouer les fausses informations virales.

Après les vacances d’hiver, en plus des conférences évoquées, l’histoire locale sera traitée avec Carennac de la Révolution à la fin du XIXe siècle et Saint-Cirq-Lapopie aux XIVe et XVe siècles. Des paysanneries des tropiques seront présentées mais aussi les Étrusques et les effets de la pollution de l’air sur la santé. Avec des tentatives philosophiques d’aborder tant le jeu et ses enjeux que l’universalité du Mal.

Ce qui pourrait s’apparenter à un « inventaire à la Prévert » selon le célèbre Inventaire du poète est l’illustration à la fois de la grande variété des thèmes proposés par l’UPTC, susceptibles d’intéresser des publics divers, mais aussi de leur approfondissement dans des cycles.