*** Evènement en visio-conférence uniquement *** La France dès le Moyen-Age fût une terre d'accueil des marchands, banquiers et paysans de l'Italie qui n'est encore qu'une expression géographique. La France de la Renaissance, puis celle du Grand Siècle ont été italiennes : ingénieurs, artistes, financiers, maîtres d'armes, chirurgiens viennent de la péninsule. Une immigration réussie...mais décriée par des pamphlets xénophobes, exacerbés par l'accaparement supposé par les Italiens des principales fonctions de l'Etat.
La migration, et pas seulement en France, des artistes italiens, jusqu'à la Révolution française, contribua à forger un véritable modèle culturel européen.
***** Évènement en visio-conférence uniquement ***** Que font les femmes coincées entre le gynécée grec, la législation romaine, les chevaliers et les prêtres ?
On ne connaît que la vie des femmes riches : les femmes des serfs et des manants, des petits artisans n’ont pas d’existence.Si nous sommes un peu documentés sur la vie des maris, rien sur elles, sinon qu’elles n’existent que par rapport à eux.
Quelques femmes émergent cependant, comme : Hypatie, Théodora, Brunehaut, Frédégonde Aliénor d’Aquitaine, Hildegarde de Bingen. Qu’ont-elles de commun ?
***** Evènement en visio-conférence uniquement ***** La liberté, est-ce faire tout ce que l’on veut ou au contraire acquérir la maîtrise de soi, le respect de la loi morale (la légitimité) et l’acceptation de la loi sociale (la légalité) qui nous permet de vivre en relation avec les autres selon des structures communes ?
L’Etat « France » s’est constitué, il est centralisé. Un grand changement va encore s’opérer. Ce sera la fin du Moyen-Age et l’ouverture avec la Renaissance venue d’Italie. D’autres femmes vont briller : Marie De France, Christine de Pisan, Catherine de Sienne, Louise Labé, Marguerite de Navarre…Catherine de Médicis
Étape la plus emblématique du Grand Tour que les élites européennes accomplissaient au XVIIIe siècle, le voyage en Italie ne se réduit pas à une expérience de jeunes nobles complétant leur éducation. L'art et les artistes y occupent une place centrale afin de parfaire leur apprentissage.
Mais des Français plus modestes ont aussi entrepris ce voyage pour leur travail en parcourant les Alpes ou le Sud marqué par les restes antiques.
Terre des arts et de la culture classique, l'Italie des Lumières est alors devenue le « laboratoire » d'une connaissance plus systématique de la nature, des hommes et de l'organisation des sociétés.
Au seuil du XIXe siècle, nobles et marchands, artistes et gens de lettres portèrent un regard plus simplificateur et stéréotypé et le voyageur se mua alors en un touriste pressé et conquérant.